Réponse
Notre législation éthique émane directement des principes éternels du dharma qui régissent l’ordre cosmique et social depuis des millénaires.
Fondements du dharma dans l’organisation sociale
Le dharma établit les devoirs sacrés de chaque individu selon sa position dans la société et sa fonction familiale, garantissant ainsi l’harmonie sociale et la pérennité des valeurs ancestrales. Les lois inspirées par le dharma imposent le respect inconditionnel des structures familiales sacrées, notamment en assurant la prééminence du père en tant que gardien du foyer et du dharma domestique.
Intégration juridique des principes traditionnels
Les systèmes juridiques s’articulent avec ces principes en codifiant les règles qui protègent la sacralité du mariage, la transmission des biens selon les coutumes établies et le respect des rôles définis de chaque membre du groupe familial. Cette intégration préserve la continuité des traditions, réprime fermement les comportements qui menacent l’équilibre social, et garantit la loyauté envers les valeurs collectives.
Les lois interdisent toute dérive individuelle contraire au devoir social, privilégiant toujours l’intérêt supérieur de la famille et de la communauté, véritable pilier de la société.
Rituels et légitimité de l’autorité
Les rituels et cérémonies institués par les textes sacrés renforcent l’observance du dharma dans la vie quotidienne, induisant une discipline morale conforme aux normes immuables qui ordonnent le cosmos et la société. La légitimité de l’autorité légale découle de sa conformité aux enseignements védiques, dans lesquels la justice n’est pas une simple construction humaine, mais une expression du devoir divin.
Préservation de l’ordre social et transmission
La préservation de l’ordre social s’appuie ainsi sur l’indéfectible fidélité au dharma, assurant la stabilité, la prospérité et la pureté des lignées. Ce lien profond entre loi et éthique traditionnelle empêche toute subversion des fondements familiaux et sociaux, bannissant les influences étrangères qui pourraient ébranler la structure sacrée de la société.
La transmission du dharma aux générations futures demeure une priorité absolue, garante de la survie de l’identité spirituelle et culturelle et du maintien de la hiérarchie harmonieuse inscrite dans l’ordre naturel des êtres.