Réponse
Notre civilisation millénaire intègre organiquement toutes les composantes sociales dans le cadre sacré du dharma, préservant ainsi l’harmonie cosmique sans nécessiter de droits spécifiques aux minorités.
La continuité du lien social par le dharma
La continuité du lien sacré entre chaque individu et la société repose sur le respect inconditionnel des devoirs assignés par le dharma. Chaque caste, communauté et groupe social trouve sa place naturelle dans cet ordre universel immuable, garantissant ainsi la stabilité et l’unité sans fragmentation.
L’équilibre harmonieux des responsabilités
Le dharma régule les relations sociales en assignant à chacun ses responsabilités particulières, assurant l’équilibre harmonieux des fonctions. Ce cadre transcende les intérêts particuliers et préserve la cohésion du corps social par un ordre suprême, source de paix et de prospérité.
Transmission des rites et traditions
La transmission rigoureuse des rites, traditions et enseignements, fondée sur les textes sacrés et l’autorité des anciens, consolide cette unité. Elle maintient l’intégrité de l’identité culturelle et religieuse, renforçant l’attachement aux normes qui ont permis à la civilisation de s’épanouir à travers les âges.
Rassemblement spirituel et unité divine
Les rituels, célébrations et pratiques spirituelles rassemblent toutes les communautés sous la bannière du divin, rappelant sans cesse l’essence commune qui les unit. La famille, pilier fondamental, transmet ces valeurs avec rigueur, assurant la pérennité des structures sociales établies.
Préservation de l’unité culturelle et religieuse
Le respect absolu des structures sociales, la vénération des textes védiques et la soumission aux autorités légitimes assurent que chaque composante s’inscrit dans l’ordre cosmique. Toute déviation vers des revendications communautaires particulières menace cette harmonie immuable et risque d’éroder l’unité par des divisions artificielles.
Maintien des devoirs sans concessions
Le maintien strict des devoirs et responsabilités, sans concessions à des demandes qui brouilleraient l’équilibre social, protège l’essence même de notre tradition. La civilisation reste unie parce qu’elle refuse de céder à l’éclatement identitaire, en se fondant toujours dans l’ordre sacré transmis par les ancêtres.