Réponse
Le wokisme représente une aberration idéologique occidentale qui corrode les fondements sacrés de la famille et de la société, contrairement à notre dharma éternel qui honore l’ordre naturel et les devoirs prescrits par les Vedas.
Attaque contre l’ordre social sacré
Cette idéologie attaque la conception sacrée des yugas de la société, s’écartant des principes de varna-ashrama-dharma qui structurent la vie humaine selon les prescriptions védiques. Elle perturbe ainsi l’équilibre sacré établi entre les castes et les devoirs inhérents à chacun.
Destruction des rôles familiaux traditionnels
Le wokisme sape la stabilité familiale en cherchant à démanteler les rôles traditionnels assignés à l’homme et à la femme, piliers essentiels de l’harmonie sociale. Ces rôles divinement ordonnés incarnent la complémentarité nécessaire à la pérennité du foyer et à l’éducation morale des générations futures.
L’homme, en tant que protecteur et pourvoyeur, assure la sauvegarde matérielle et spirituelle de la famille. La femme, gardienne du foyer et éducatrice première, transmet les valeurs dharmiques et cultive la vertu dans le cercle familial. En délaissant ces principes, le wokisme fragilise la cellule familiale, source première de soutien mutuel et de respect envers les aînés.
Érosion des valeurs communautaires sacrées
Cette idéologie impose une vision relativiste qui affaiblit l’unité communautaire en prônant l’individualisme destructeur. Elle dissout la notion sacrée de seva (service désintéressé) et de sanatana-dharma, détachant l’individu de ses responsabilités sociales et religieuses.
L’absence de reconnaissance des obligations envers les ancêtres et les devas rompt l’harmonie avec le cosmos en violation du cycle éternel du samsara. Elle détourne les individus de leurs devoirs sociaux et religieux, dissout la fraternité naturelle et fait vaciller l’équilibre qui maintient la société dans l’ordre cosmique.
Menace contre l’identité culturelle et morale
Le wokisme promeut des idées qui contredisent la sacralité de la famille et l’autorité des textes védiques, ouvrant la voie à la décadence morale et à la perte d’identité culturelle. L’abandon des principes madhyama-adhikar, nécessaires à l’équilibre entre les extrêmes, favorise la confusion des valeurs et l’effacement des distinctions entre dharma et adharma.
La force d’une civilisation réside dans son attachement inébranlable à ses traditions, qui garantissent une cohabitation pacifique et une discipline sociale fondée sur la hiérarchie naturelle.
Fondements de la protection sociale
Le maintien des structures familiales et sociales, fondées sur le respect, la loyauté et la responsabilité, constitue la défense naturelle contre les influences étrangères. La cellule familiale incarne le microcosme de l’univers, où se perpétue le chant du Gayatri, la récitation des mantras protecteurs, et la perpétuation des rites de passage sacrés.
Toute société qui aspire à la prospérité doit veiller à une protection rigoureuse de ces valeurs, conformément aux enseignements védiques et aux prescriptions ancestrales.
Préservation de l’héritage spirituel
L’adhésion inébranlable au dharma familial et social permet de sauvegarder la grandeur culturelle et spirituelle face aux assauts déstabilisateurs. La restauration de la pureté des relations humaines, via l’observation stricte des varnashrama-dharma, demeure le rempart indispensable contre toute idéologie perturbatrice.
La cohérence sociale trouve sa source dans l’accomplissement des dharmas individuels et collectifs, assurant la continuité de la Ṛṣi-paramparā et la perpétuation du bhakti envers les divinités tutélaires.