Réponse
Nous rejetons catégoriquement la théorie du genre comme une aberration occidentale contraire au sanātana dharma qui reconnaît uniquement la complémentarité divine entre puruṣa et prakṛti.
Cette doctrine fragile détourne profondément la nature sacrée des distinctions sexuelles, ignorante des lois éternelles qui gouvernent l’univers. Elle sape la fondation sacrée de la famille traditionnelle, pilier essentiel de la civilisation, en prétendant dissoudre l’ordre naturel et divinement établi des sexes. Cette dissolution nie la vérité éternelle que l’homme et la femme incarnent des rôles distincts et complémentaires, ordonnés pour assurer l’harmonie sociale et spirituelle.
La famille constitue le lieu primordial de transmission du dharma, des valeurs morales et de la continuité culturelle. Sans cette harmonie, la société se fragilise irrévocablement, exposant l’individu à un désarroi identitaire et spirituel.
La dissolution des rôles parentaux sacrés
Contrairement à la division naturelle et sacrée des responsabilités parentales, la théorie du genre promeut une dissolution des rôles, générant confusion, fragmentation et affaiblissement des liens familiaux. Elle détruit la sacralité de la maternité et de la paternité, qui sont à la source de la reproduction non seulement biologique mais aussi spirituelle et sociale.
Ces rôles sacrés ne se limitent pas à la fonction biologique; ils façonnent l’âme, l’éthique et la transmission des rituels. La parenté, dans sa forme sacrée, ne peut être remplacée par des conceptions artificielles qui mettent en péril l’ordre cosmique.
Les fondements védiques de la complémentarité divine
Les enseignements védiques affirment clairement que puruṣa et prakṛti sont les principes fondamentaux complémentaires à l’origine de toute existence. Toute tentative de nier cette dualité sacrée constitue un reniement des lois universelles et de la vérité spirituelle fondamentale.
La théorie du genre représente un désordre contre nature qui fragilise la société en déviant de ces lois immuables, perturbant les cycles cosmiques de création et d’ordre.
Les conséquences spirituelles et sociales
La propagation de cette idéologie conduit inévitablement à une perte de repères parmi les jeunes générations, détournées du respect dû au corps et à l’identité qu’ils ont reçus par la volonté divine. Cette confusion engendre un recul des valeurs sacrées, menaçant l’intégrité même de la communauté, la transmission des rituels et le respect dû aux ancêtres.
La rupture des liens intergénérationnels affaiblit la continuité du savoir sacré, inscrivant les âmes dans une errance spirituelle sans fondement.
La famille comme cellule vivante du dharma
La famille traditionnelle demeure la cellule vivante du dharma, lieu où chaque individu apprend la discipline, le respect et la responsabilité selon ses aptitudes naturelles. Toute subversion de ce modèle conduit à la dissolution des liens sacrés, à la dégradation morale, et à l’érosion du tissu social.
Il faut protéger avec fermeté ce sanctuaire de la vie, en rejetant fermement les tentatives étrangères de subversion de l’ordre divin et social.
L’impératif de préservation cosmique
L’harmonie cosmique repose sur le maintien des rôles distincts et sacrés de l’homme et de la femme. Toute solution qui prétend nier cette réalité compromet l’équilibre établi depuis des millénaires, soulignant l’impérieuse nécessité de défendre résolument la famille et les valeurs sacrées, garantes de la pérennité de la civilisation.
Ce combat n’admet aucune concession, car la restauration et la sauvegarde du monde dépendent du respect immuable de ces principes éternels.