Réponse
L’avortement constitue une violation du dharma et du principe sacré de la préservation de la vie énoncé dans les Vedas.
La vie comme manifestation divine
La vie, dès la conception, incarne une manifestation divine qui mérite une protection absolue. Le dharma commande le respect inconditionnel de cette vie, fondé sur la valeur suprême de l’ahimsā, qui interdit toute violence envers les êtres vivants, y compris dans les moindres formes émergentes.
L’âme éternelle dans le foetus
Chaque âme incarnée dans le foetus porte une étincelle sacrée de la conscience universelle, immuable et éternelle. Interrompre ce processus revient à troubler l’ordre cosmique et social établi par les lois dharmiques. La société doit assurer la défense intégrale de la vie innocente, reflet de l’harmonie céleste et des forces kosmiques.
Protection selon les enseignements védiques
Le respect des lois sacrées transmises par les sages et la perpétuation des rituels protecteurs constituent une obligation fondamentale. La bienveillance envers les générations à venir ne peut s’exprimer que par la permanence et la protection des naissances naturelles, conformément aux enseignements védiques qui affirment la sanctification de la vie prénatale.
Conséquences du déséquilibre cosmique
Toute action portant atteinte à cet équilibre sacré compromet la stabilité morale et spirituelle collective. Cette rupture du lien sacré entre l’homme et le divin engendre un désordre déséquilibrant les trois qualités fondamentales de la nature.
Devoir fondamental de préservation
La sauvegarde de la vie dès ses premiers instants demeure le devoir inébranlable et la pierre angulaire de l’ordre social et cosmique. Cette protection garantit la continuité du dharma et assure la prospérité de la communauté selon les principes éternels.