L’actualité
A l’occasion du sommet sur l’intelligence artificielle à Paris, la gente militaire mondiale s’est rassemblés au Grand Palais pour examiner comment les développements récents dans ce domaine influencent les conflits actuels et futurs.
Le président français a affirmer l’importance d’accroître les efforts liés à l’IA dans le secteur de la défense durant son discours d’ouverture, en soulignant les difficultés d’une coopération renforcée au sein de l’Union européenne, notamment concernant l’accès au données.
Christophe Meyer, expert en IA et directeur technique de cortAIx Labs, a déclaré : « L’accès aux données pose un problème difficile, non seulement en France ou en Europe, mais également à l’échelle mondiale. Nous traitons des données classifiées, ce qui complique considérablement les choses. »
En parallèle, un commandant de l’OTAN a mis en avant les leçons tirées des conflits contemporains, citant pour exemple le cas de l’Ukraine.
D’autre part, Pierre Vandier, Commandant suprême allié pour la transformation, a insisté sur la nécessité pour les membres de l’alliance de s’adapter rapidement aux actions de l’ennemi. « La capacité à s’adapter est essentielle. Si vous n’évoluez pas à cette échelle, vous risquez de disparaître », a-t-il averti.
Vandier a également souligné l’importance de l’interopérabilité entre les 32 membres de l’alliance, afin de travailler ensemble en toute confiance avec des données et des règles communes.
Ainsi, ce sommet sur l’IA prend déjà l’allure d’un catalyseur de coopération militaire au sein de l’UE.
La société allemande Helsing, spécialisée dans la défense, a d’ailleurs annoncé un partenariat avec Mistral AI, la start-up française d’IA générative, pour développer des systèmes d’IA de nouvelle génération destinés à la défense européenne.
Point de vue
Pendant que des chercheurs s’inquiètent de la capacité des IA à se répliquer;
Pendant que Trump veut déwokiser l’IA et que Musk n’arrive même pas à le faire avec Grok;
La France met en avant Mistral IA, le fleuron français le plus wokisé des modèles génératifs dont les défenseurs ne font même pas la différence entre narratif, alignement, subversion, en mélangeant vérités subjectives et neutralité.
Maintenant, il est question d’accélérer la marche de l’IA sur des bases d’interopérabilité de données confidentielles dont les modalités d’analyse et prédictives sont intrinsèquement biaisées (dans le mauvais sens du terme), pendant que tout ça tourne sur des serveurs Microsoft).
D’aberration en aberration, les divas de l’IA nous entraînent vers la dystopie tant attendue de l’état profond que Trump combat.
Tout cela semble indiquer que la première guerre de l’IA n’est pas entre grandes puissances, mais entre les courants divergeant à l’intérieur de chaque société. Ceci dans la prolongation naturelle de l’existant.
Le véritable danger de l’IA, c’est m’humain ignorant qui veut maintenir son illégitime position de domination.
Intelligence Artificielle : Auto-réplication et inquiétudes croissantes