Variables temporelles et financières
Le GTT (Gain de Temps par Tâche) mesure les minutes économisées sur chaque opération, tandis que le GFT (Gain Financier par Tâche) quantifie les euros sauvegardés, charges patronales incluses. Ces indicateurs calculent l’impact économique direct de l’automatisation des micro-tâches.
Variables énergétiques et environnementales
L’EKH (Économie Kwh) évalue la réduction de consommation électrique par tâche, et l’EWH convertit ces économies en valeur monétaire. L’EcoCO2 mesure les kilogrammes de CO2 évités, et l’EcoEau comptabilise les litres d’eau préservés grâce à l’optimisation des processus.
Variables cognitives et qualitatives
L’ECDT (Économie Calorique sur Durée de Tâche) quantifie la réduction de charge cognitive des collaborateurs. Le CDCMax prolonge la durée de concentration maximale, améliorant directement la qualité du travail. Le BPPQ (Bénéfice Performance Pondéré par la Qualité) intègre ces gains dans une métrique de performance globale.
Variables opérationnelles stratégiques
Le BPGBQ (Bénéfice Performance Globale Brut Quantifié) exprime le pourcentage d’amélioration opérationnelle par employé. Le Taux d’usage pondère cette performance selon l’adoption effective des outils d’IA. Le REG (Résultat de l’Équation du Gain) synthétise l’ensemble des variables en une valeur économique mensuelle par employé.
Ces variables forment un système métrique complet qui transforme l’efficacité opérationnelle en avantage économique tangible, établissant des corrélations directes entre optimisation des processus et performance financière.



























