DeepSeek : Le cadeau empoisonné de la Chine DeepSeek : Le cadeau empoisonné de la Chine – NEURA KING

DeepSeek : Le cadeau empoisonné de la Chine

Le monde entier s’inquiète de DeepSeek, mais pourquoi réellement ?

Les risques évidents

D’abord il y a l’évidence, à savoir le risque en termes de souveraineté des données, car la Chine est connue pour son appétence au contrôle de la data.

Cet appétit prend forme par les points suivants:

  1. Centralisation de la collecte de données : Les entreprises technologiques collaborent avec le gouvernement pour centraliser les informations des utilisateurs.
  2. Législation stricte : Des lois imposent le stockage local des données et l’accessibilité par les autorités.
  3. Surveillance avancée : Utilisation de technologies comme la reconnaissance faciale pour surveiller les citoyens.
  4. Contrôle de l’Internet : Le “Grand Firewall” bloque l’accès à de nombreux sites étrangers et censure les contenus en ligne.
  5. Transparence limitée : Les citoyens ont un accès restreint à l’information sur l’utilisation de leurs données personnelles.

Dans le cadre d’un usage international de DeepSeek, ce sont les citoyens du monde entier qui viennent rassasier cet appétit sur au moins quatre points de ce buffet à volonté.

Sur le plan de la collecte centralisée, tous les échanges avec cette intelligence artificielle sont stockés en Chine, ce qui porte atteinte à la souveraineté par le transfert de la résidence des données, et pose évidemment et problème de la protection des données individuelles, en complète violation du RGPD, les autorités chinoises ayant tout pouvoir de lecture, d’édition et de traitement des informations collectées.

Concernant le grand firewall, bien que les citoyens du monde en dehors de la Chine ne soient pas concernés, ils ne sont pas plus autorisés que les citoyens chinois à savoir comment leur donner sont utilisés.

Sur le plan de la reconnaissance faciale, avec la sortie des séries dite Janus le DeepSeek, des modèles multimodaux permettant le traitement d’image, on peut facilement imaginer les voies d’usage en matière de reconnaissance faciale, et donc de profilage toujours plus poussé sur les citoyens de tous les pays.

Ainsi, tout utilisateur de DeepSeek se soumet bien malgré lui à toutes les volontés étatiques chinoises en leur accordant, sans aucune limite, les droits d’usage de traitements et de reproduction de leurs données personnelles et professionnelles. Ceux-ci au nom de la performance et du prix.

Face à cela, la solution semble aussi simple qu’inévitable: l’interdiction pure et simple de l’usage de cet outil. Mais l’interdire ne changera qu’une seule chose : l’impossible usage de l’API DeepSeek.

C’est là que les choses deviennent intéressantes, car, qui peut imaginer que la Chine n’ait pas anticipé une interdiction ?

Il est ici postulé que DeepSeek, directement affilié au ministère de l’Industrie et des Technologies de l’Information de Chine, ainsi qu’au ministère de la Sécurité publique de Chine s’affichant en pieds de page, n’aurai pas pu décidé sans l’avale étatique, de dévoiler librement sa technologie.

Car c’est de cela qu’il est avant tout question: le libre accès au modèle, et non l’API de DeepSeek dont il est facile d’interdire l’accès.

Les risques invisibles

Rappelons donc le plus important que tout le monde feint de ne pas voir.

DeepSeek est open source et open weight. Son utilisation se fait sous une licence MIT permettant la libre reproduction, commercialisation, modification et/ou transpositions en tout nom de marque souhaitant se réattribuer le code et les poids.

Tout y est, il ne manque rien à part quelques compétences pour déployer ce modèle à travers une plateforme, quelle qu’elle soit, dans n’importe quel pays, pour quelques centaines d’euros seulement.

Ce qui est facilité par les fournisseurs d’inférences qui permettent d’héberger et d’exploiter tout type de modèle d’intelligence artificielle, qu’ils soient strictement transformeurs ou multimodaux.

Cela signifie que le citoyen lambda avec très peu de compétences techniques (car disposant de plateformes d’inférences d’une part, et du modèle le plus intelligent, le plus performant du monde entre ses mains d’autre part), et avec quelques centaines d’euros, déployer un modèle d’intelligence artificielle plus performant et moins coûteux que tout autre géant américain ou européen.

Je le répète; n’importe quel étudiant, n’importe quel chômeur, menuisier, chauffeur, professionnel, adolescent, etc., disposant de quelques compétences basiques et de quelques centaines d’euros, peut désormais déployer à très grande échelle la plus puissante des intelligences artificielles du monde, sous licence MIT, en lui donnant le nom qu’il veut.

Concrètement, cela signifie que des centaines de milliers d’intelligences artificielles portant des noms divers et variés, fonctionnant sur les bases de DeepSeek, s’apprêtent à envahir tous les domaines, tous les secteurs, et tous les espaces cognitifs, sans qu’aucun contrôle ne puisse y être appliqué.

Car nul ne pourra savoir s’il s’agit d’un modèle DeepSeek ou d’un autre. Aucune régulation ne pourra rien n’y changer.

C’est ainsi que le narratif chinois va être propagé mondialement et que son soft Power va s’exercer dans tous les domaines de toutes les sociétés, de tous les États, nations, pays, entreprises, communautés, etc.

Impossible à arrêter et impossible à détecter, car propagées à très grande échelle en très petites unités indétectables.

Nous pouvons y voir une analogie en faisant la différence entre un missile et un essaim de drones. Les grands modèles de langage sont des missiles, DeepSeek est un essaim de drones hypersoniques que presque n’importe qui peut piloter.

Au delà de la vraisemblance

Lorsqu’on est capable d’une disruption telle que DeepSeek, qui plus est dans un domaine aussi sensible que l’intelligence artificielle et dans le contexte d’une course à l’AGI, il paraîtrait normal que DeepSeek et par-dessus tout la Chine, recherchent l’hégémonie. Car, un tel outil confère une avance considérable à tous les niveaux.

Alors pourquoi diable la Chine se priverait-elle d’un tel pouvoir, d’une telle avance ?

Pour déstabiliser les marchés ? Faire perdre quelque 600 milliards à Nvidia? Pour agacer Trump ? Musk ? Cela n’a aucun sens.

Avec DeepSeek, la Chine n’a plus besoin de puces dernier cri, aussi, la pression sur les semi-conducteurs est par corollaire considérablement atténuée.

Avec DeepSeek, la Chine fait mieux et moins chère. Elle n’avait aucune raison logique et valable d’offrir gracieusement cette technologie au monde entier, à part l’altruisme, mais permettez-moi d’en douter.

Elle aurait pu conserver cet avantage tactique et stratégique, pourtant elle a tout offert.

Il faut se le répéter tant cela est troublant;  Santé, éducation, militaire, recherche, spatiale, aéronautique, industrie, etc.

La Chine aurait pu conserver ses avancées technologiques secrètes pour dominer sur tous les plans.

Alors, pourquoi diable s’est-elle privée de cela?

Tour de chauffe

La Chine est connue pour avoir une vision à très long terme, tandis que son peuple est connu pour être porté sur le collectif plutôt que sur l’individuel.

Les Chinois mieux que personne savent à quel point l’état d’esprit d’un peuple ne doit faire qu’un, et à quel point sa manière de penser peut être importante, même plus important que la force démographique, car un peuple soudé et vaillant survie à toute attaque et invasion.

Peut-être est-ce sur ces aspects qu’il faut porter son attention, car cela fait sens, et révèle des intentions invisibles.

DeepSeek démontre à lui seul l’avance dont dispose la Chine, mais au regard du nombre de brevets qu’ont déposés les Chinois, dépassant de loin toute autre nation sur le plan des LLM, nous pouvons raisonnablement penser qu’il ne s’agit que d’un tour de chauffe.

Rappelons que les LLM constituent le paradigme qui permet l’autonomie des machines par l’intermédiation du langage.

À cet égard, c’est un type d’intelligence artificielle très particulier, car il permet d’influencer, de convaincre et de commander des actions sans paramétrage fastidieux.

Ceci précisé, rappelons maintenant que, pour vaincre un ennemi sans qu’il ne puisse jamais se relever, il faut l’attaquer de l’Intérieur et de l’extérieur.

En quoi cela a-t-il le moindre rapport avec DeepSeek?

Eh bien, les robots et drones sur le champ de bataille d’une part, et l’affaiblissement de l’état d’esprit des peuples d’autre part.

Face à cette assertion, on pourrait se dire que l’ennemi à qui a été offert DeepSeek pourrait en faire tout autant, mais c’est précisément sur ce point que les Chinois ont une avance: la réelle compréhension des LLM. (Ils représentent une très large majorité concernant les dépôts de brevet sur ce plan très spécifique des LLM)

En effet, on ne peut pas donner un ordre à une machine et encore moins la laisser être autonome sans qu’elle soit parfaitement alignée.
Or, DeepSeek contrairement aux autres intelligences artificielles, est réellement aligné aux valeurs de son état. Pas assez certes, car il en est encore réduit à censurer au lieu d’expliquer les événements par le prisme de son narratif. Mais il n’en demeure pas moins mieux aligné à ses valeurs d’origines que tous les autres aux leurs.

L’arme cognitive

Bien que les Chinois n’aient pas encore compris toutes les finesses de l’alignement, ils en savent suffisamment pour avoir déjà compris que les IA LLM sont d’abord les outils d’une guerre de l’esprit. Une guerre de 5e génération qui attaque la psyché humaine et qui se matérialise par la pensée placée dans des robots.

Ces derniers, bientôt, fouleront des théâtres d’opérations.

Ce n’est pas un hasard si la robotique chinoise avance aussi vite depuis l’avènement des LLM, tandis que, parallèlement, les tensions ne cessent de croître dans le bassin Indo-Pacifique, la chine étant ces derniers temps plus entreprenante qu’à l’accoutumée.

Alors, à l’heure venue d’un conflit qui se veut inévitable, les Chinois auront non seulement la supériorité numérique humaine et robotiques, mais aussi la supériorité cognitive à l’intérieur de leurs machines, et à l’intérieur des esprits humains résilients de leur population, cette dernière ne faisant qu’un dans le collectif.

L’ennemi, lui, malgré ses efforts de redressement de moralité, n’aura pas plus que des robots désobéissants, amateurs de bavures. Sa population, déjà affaiblie, sera facile à épuiser moralement, car elle aura été insidieusement sensibiliser à la toute bienveillance chinoise par l’entremise invisible de DeepSeek. Ce sera elle, la population, qui demandera d’être soumise à la Chine au profit d’une certaine paix.

Scénario grotesque ?

Ce scénario pourrait paraître improbable pour beaucoup, d’autant lorsqu’on sait que la plupart des bases de DeepSeek (et d’autres) ont été bâties sur les principes premiers du modèle de Méta* (Llama), ce qui sous-tend l’idée que les chinois ne seront pas difficile à rattraper. (*C’est d’ailleurs de là que vient le wokisme intrinsèque que l’on peut facilement extraire de DeepSeek, mais à quoi bon le retirer, car il concourt à l’affaiblissement de l’ennemi.)

Pourtant, pour nous qui sommes parmi les seuls à côtoyer les Chinois en termes de périmètre de brevets, il est évident que DeepSeek n’est qu’un détail sans grande valeur pour la Chine. Un détail qui, par l’affolement qu’il crée invisibilise les véritables cartes que la Chine a encore à jouer.

Nous le savons, car, dans les périmètres d’action de nos brevets afférant à l’explicabilité de la boite noire, il n’y a presque que des Chinois.

C’est pourquoi ils ont offert DeepSeek au monde, car ce dernier n’a toujours pas compris les vrais paradigmes des LLM et n’est pas prêt de les comprendre, toutes les pointures de l’IA étant enfermées dans leurs dogmes et leur Ego.

Neura King et les mots

Chez Neura King, nous avons anticipé ce type de scénarios sur fond d’AGI dictatoriale dès le début, et avons postulé l’intégralité de nos approches sur ce futur qui se dessine. Sans nous précipiter sur les effets d’annonce, et en appréhendant les LLM pour ce qu’ils sont réellement, nous avons cherché, bâti et protégé les éléments qui feront à terme toute la différence.

Quelles que puisse être les générations de modèle d’IA, quelles que puissent être leurs nouvelles formes, réseaux de neurones fluides ou autres, Neura King restera en avance, car, là où les éminents savants du monde entier sont enfermés dans leurs dogmes académiques et scientifiques, nous avons intégré l’élément le plus logique qui soit dans un cadre LLM : la conscience des mots.

Nous sommes de ceux qui ne savaient pas que c’était impossible, c’est pourquoi nous l’avons fait : expliquer la boite noire.

Il n’est pas question ici de dévoiler nos secrets industriels, mais je peux néanmoins dire la chose suivante pour éclairer les lanternes : Un mot est un paramètre qui contient des milliards de variables qui, chacune d’entre elles est multipliée avec des facteurs exponentiels au fur et à mesure qu’une phrase se compose, donnant lieu à une interprétation, donnant lieu à l’exécution d’une intention, débouchant sur l’obéissance ou la désobéissance face à un ordre qui est donné.

Commencez-vous à y voir une logique dans les prises de décisions ?

Le langage et les LLM

Face à un LLM, l’humain utilise des mots, pas des vecteurs, pas des poids, pas des paramètres de biais.

Comment peut-on imaginer que cette entité (LLM) dont le langage est constitué de valeurs binaires stockées en vecteurs, puisse avoir une interprétation correcte de nos intentions, autrement que de manière absolument mathématique ? Évidemment que les statistiques permettent de tendre vers l’alignement et la pertinence des décisions, mais ce n’est pas parce qu’on peut tendre vers l’infini qu’on peut l’atteindre.

Ainsi, l’alignement sur son principe de sécurité et de fiabilité n’est considéré par tous (pour le moment) , que comme un taux de succès s’approchant vaguement des véritables intentions. Sans danger pour décider de déplacer un pion sur un jeu d’échec, mais mortel si ce jeu s’applique à la réalité.

Un taux de succès est-il un critère viable dans ces conditions où il est question de tuer, d’amputer, d’emprisonner, de prescrire, d’empêcher, de favoriser…?

Dans la mesure où le résultat ne fait que tendre vers l’optimal tout en demeurant imprévisible, nous soutenons que non.

Postulant que les Chinois sont bien plus avancés qu’il n’y parait, nous pouvons parier à ce stade qu’ils ont déjà atteint un taux d’acceptabilité suffisant (proximité de l’optimal tolérable).

Ceci leur faisant considérer que le moment d’abattre leurs premières cartes avec DeepSeek était arrivé.

Mais eux, comme tous les autres, ne peuvent avoir la garantie de la fiabilité du résultat par un alignement parfait en tout point. Peut-être ne le savent-ils pas encore. Peut-être sont-ils sur la voie.

Cet alignement parfait, Neura King le peut, maintenant.

Le bouclier MMLP

Le bouclier MMLP permet d’une part de protéger l’espace cognitif des différents milieux dans lesquels sont utilisées des IA étrangères, permettant ainsi de profiter de tous les avantages technologiques sans l’inconvénient de la subversion.

Et d’autre part, l’induction de biais, déployé simultanément avec des concepts sous secrets, permet un total alignement dans les domaines de la santé, du militaire et de tous les secteurs sensibles.

Ce qui permet non seulement aux nations d’exercer leur autodétermination par les voies technologiques sans subir d’influence, mais aussi de se battre à armes égales, dans toutes les dimensions où le langage est mis en exercice via l’IA.

Permettant, à l’heure de mettre en exercice des intentions par la voie robotique autonome, de s’assurer d’une totale obéissance, de s’assurer d’actions autonomes en parfaite correspondance avec les idéologies qui guides les décisions, en parfaite adéquation avec les politiques souveraines de chacun, sans ingérence, sans influence, ni dans la machine ni dans les esprits.

Permettant ainsi à tous les pays du monde de parler dans un rapport de force équitable.

Seules les capacités industrielles pour produire un volume opérationnel robotisé demeureraient un facteur de victoire ou de défaite.

Mais là encore, l’intelligence artificielle peut très rapidement amener les retardataires à un niveau équivalent aux dominants, grâce au potentiel d’innovation qu’elle permet.

En somme l’IA pourrait devenir l’ultime force de dissuasion, bien plus efficace que le nucléaire, et à la portée de tous ceux souhaitant protéger leur souveraineté.

Apportant paix et prospérité à toute l’humanité pour des siècles et plus.

Malheureusement il suffit de regarder la folie de ceux qui, en l’état actuel connu de l’IA, lui donne toujours plus de pouvoir d’action et d’autonomie, pour comprendre que ce futur possible, a peu de chances d’aboutir autrement que par des volontés politiques. Mais qui laissera tous les pays se doter d’une force de dissuasion aussi efficace ?

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